Pourquoi AUX 2 TABLES? parce que l'homme ne vit pas que de pain....

mardi 25 décembre 2012

NOËL !





gif etoile



Alléluia ! 

"Je vous annonce une grande joie.
Aujourd’hui nous es né un Sauveur : c’est le Messie, le Seigneur ! "

                                                                                                        Alléluia !


Notre crèche "Judéo-mexicaine"





 Sur vous tous qui lisez fidèlement ces pages, que l’Enfant-Dieu fasse briller sa Lumière, qu'Il vous donne sa Paix et son Amour !

JOYEUX NOËL !



dimanche 23 décembre 2012

4 ème dimanche de l’AVENT.


gif etoile           

Alléluia !

« Chante et réjouis-toi, Vierge Marie : Celui que l’univers ne peut contenir demeure en toi ».

                                                                           Alléluia !    


Vierge sculptée, prieuré de Sitio. Domois (21)



mardi 18 décembre 2012

Iles flottantes.



Les îles flottantes, un dessert que Maman nous faisait à chaque fête de famille. J’ai commencé à les faire, comme elle sur le gaz et je reconnais que j’étais  bien moins douée (et patiente) qu'elle.
Puis le micro-onde est venu à mon secours et c’est devenu notre dessert favori. Mais j’avoue qu'avec le Thermomix je bats tous mes records de rapidité d’exécution et de simplicité !


Crème anglaise :

450 gr de lait demi-écrémé
6 jaunes d’œufs
70 gr de sucre semoule
2 sachets de sucre vanillé ou 2 c à s de sucre vanillé maison.

Pour les blancs :

6 blancs d’œufs
30 gr de sucre
Amande effilées
Caramel liquide ou encore mieux caramel maison* qui deviendra craquant.


Mettre tous les ingrédients de la crème anglaise dans le bol et régler
7 mn/Vit4/80°. 
Ne pas mettre le bouchon doseur, par contre pour éviter les projections mettre sur le couvercle le petit panier vapeur.

Puis poser le bouchon doseur sur le couvercle du bol et mixer 5 s/Vit5. (Personnellement, je ne le fais pas.)

Verser la crème dans un saladier ou dans des coupes individuelles.

Préparer le sucre glace : mettre les 30 gr de sucre dans le bol et mixer 
15 s/ Vit 10. Le réserver dans un petit bol.

Bien laver et sécher le bol.

Insérer le fouet dans le bol. Ajouter les blancs d’œufs avec une pincée de sel et régler 6 mn/70°/Vit 3,5 en augmentant progressivement la vitesse pendant la première minute. 
À 2 mn de la fin, ajouter le sucre réservé. Cette opération permet de monter les blancs en neige et de les cuire en même temps.

Le moelleux des blancs, le craquant des amandes, un moment de pure gourmandise...!


Diviser la quantité de blancs en neige en 6 portions avec une c à s. Les déposer sur des feuilles de papiers absorbants pour en éliminer l’excès d’humidité.

Quand la crème est refroidie, déposer les blancs en neige sur la surface. Décorer avec les amandes effilées, que vous aurez légèrement colorées dans une poêle au revêtement anti adhésif. 


Décorer avec un filet de caramel et servir très froid.




*Préparation de la recette du caramel au micro-onde :
50 gr d'eau
75 gr de sucre en poudre

Tout d'abord s'assurer de posséder un récipient micro-ondable en céramique ou verre type Pyrex..
Versez l'eau à l'intérieur et ajoutez le sucre.


Programmer ensuite le micro-onde à puissance 900W pour une durée de 4 ou 5 minutes.
A la sortie du micro-onde, (attention de ne pas se brûler) verser très rapidement le caramel (blond, ambré ou roux, selon vos goûts) sur les blancs et les amandes.
Vérifier régulièrement l'évolution du caramel dont la cuisson peut être soumise à aléas.
Lorsqu'il commence à changer de couleur, le caramel peut brûler très vite et devient alors... charbon immangeable !




lundi 17 décembre 2012

La soupe des Schtroumpfs.



Elle fait son petit effet cette « soupe » merci Julie….


 Attention prévoir la veille pour le lendemain.

2 louches de sucre de canne
2 louches de Cointreau
2 louches de curaçao.


Laisser macérer une nuit au frigo.

Au moment de servir ajouter 20 glaçons et verser 2 bouteilles de Champagne sur les glaçons et servir aussitôt.

Le Champagne peut-être remplacé par du Crémant.

À consommer avec modération......quand même ;-) !





dimanche 16 décembre 2012

3 ème dimanche de l’Avent.





Évangile de Jésus Christ selon saint Luc


Les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? »
Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu'il partage avec celui qui n'en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu'il fasse de même ! »
Des publicains (collecteurs d'impôts) vinrent aussi se faire baptiser et lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? »
Il leur répondit : « N'exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. »
À leur tour, des soldats lui demandaient : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites ni violence ni tort à personne ; et contentez-vous de votre solde. »
Or, le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Messie.
Jean s'adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l'eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de défaire la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et dans le feu.
Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s'éteint pas. »
Par ces exhortations et bien d'autres encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle.
Les foules qui venaient se faire baptiser par Jean lui demandaient : « Que devons-nous faire ? »
Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu'il partage avec celui qui n'en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu'il fasse de même ! »
Des publicains (collecteurs d'impôts) vinrent aussi se faire baptiser et lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? »
Il leur répondit : « N'exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. »
À leur tour, des soldats lui demandaient : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites ni violence ni tort à personne ; et contentez-vous de votre solde. »
Or, le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Messie.
Jean s'adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l'eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de défaire la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et dans le feu.
Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s'éteint pas. »
Par ces exhortations et bien d'autres encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle


Aujourd’hui Jean Baptiste nous parle de la pratique de la conversion. 

Rappelons que se convertir ce n’est pas d’abord changer de morale, mais de mentalité; c’est se re-tourner vers Dieu dont on s’était dé-tourné; faire de lui notre Dieu, alors que auparavant l’argent, l’ambition, la bonne vie en tenaient lieu.

Il est clair, aussi, que ce retournement va se concrétiser dans une autre façon de vivre. C’est ainsi que les foules demandent à Jean :

"Que devons-nous faire ?" 

Jean répond à tous, sans distinction : partagez. Que l’égoïsme ne soit plus votre dieu, mais le Dieu-amour.

Arrivent des publicains, collecteurs des impôts romains, détestés pour leur collaboration avec l’ennemi et parce qu’ils majoraient les taxes en en gardant pour eux-mêmes. 
Jean ne les rejette pas, mais leur rappelle leur devoir. N’exigez rien de plus que le fixé. 
Viennent des soldats, catégorie alors méprisée, peut-être des mercenaires de ce renard d’Hérode. 
Pas de violence et pas d’exactions; contentez-vous de votre solde. Curieusement, Jean ne demande ni aux publicains, ni aux soldats de quitter ces emplois méprisés, mais de les exercer autrement.

Nous ne sommes ni des publicains véreux, ni des soldats grossiers. 
Mais le sermon de Jean reste bien actuel : N’exige pas plus que le fixé; n’arrange pas les prix, les factures; n’exige que le juste loyer... 

Pas de violence, même au volant de la voiture. 
Qui n’a profité de sa situation pour jouer des coudes, écraser l’autre, mine de rien ! 
Enfin, si nous étions hors de cause, que nous ne fassions de tort à personne (ah ! la bonne conscience !). Fais-tu le bien que tu dois faire ? Est-ce que tu partages 

Qu’attendons-nous à Noël ? 
-Un gentil bébé qui nous laissera tranquilles ? 
-Un Seigneur puissant, de gloire, qui nous dit : Je vous envoie mon Esprit, le feu de l’amour. 

Soyez justes (n’exigez rien de plus). Soyez bons (partagez). Je vous jugerai là-dessus.

Extrait d'un commentaire de la Parole du site: Port Saint Nicolas




samedi 15 décembre 2012

Pain d'épices




Je n'étais pas fan de pain d'épices avant de goûter celui de Mamie Marcelle G. 
Moelleux, pas trop sucré, un vrai moment de plaisir! Et si en plus, au moment de la dégustation, on ajoute une fine couche de beurre, alors là... 

Elle a eu la gentillesse de bien vouloir me transmettre sa recette, merci, merci beaucoup!
Se conserve plusieurs jours, bien emballé dans un film transparent, enfin... si on peut résister...





300 gr de farine
225 gr de miel liquéfié.
60 gr de sucre
75 gr de beurre mou
1 sachet de levure
1 c à c rase de bicarbonate de soude*
1 œuf
100 gr de lait
1 c à c d’anis en poudre
½  c à c de cannelle moulue
½ c à c de gingembre en poudre
Pour ma part, j'ai mis 3 c à c de mélange tout prêt pour pain d'épices.

Préchauffer le four à 160°
Mélanger tous les ingrédients après avoir fait ramollir le beurre.
Verser dans un moule à cake beurré, fariné.
Faire cuire à 160° pendant 45 mn, puis à 150° pendant 30 mn. (S'il colore trop couvrir d'un papier aluminium.)

Au Thermomix :
Mettre le miel et le beurre dans le bol du Thermomix: 3 mn/Vit2/37°
Ajouter le reste des ingrédients, mélanger 30 s/Vit5/
Verser dans le moule à cake.
Cuire comme ci-dessus.

*Attention de ne pas mettre une trop grosse c à c de bicarbonate de soude sous peine de voir votre pâte à
gâteau se transformer en geyser!!








lundi 10 décembre 2012

Tarte aux champignons de Paris.









Une tarte que je fais très souvent le soir avec une salade verte.


Pour la pâte :

150 g  de farine
80 g de beurre
1 c à c. d’herbes de Provence
½ c à c. de sel
50 g d’eau.



Pour la garniture :

1 gros oignon
2 c à s. de vin blanc
100 gr de gruyère râpé
200 g de crème liquide
4 œufs
300/400 g de champignons de Paris frais

Préparation.
Faire la pâte brisée en mettant tous les ingrédients dans le bol.  
Mixer 30 s. /vit 4  

Étaler la pâte dans un moule à tarte.

Répartir le gruyère sur le fond de tarte. (En fondant le gruyère empêche l’eau des champignons de mouiller la pâte.)

Nettoyer rapidement les champignons sous un filet d’eau fraîche, couper un peu le pied, et trancher en fines lamelles. Répartir sur le gruyère.

Couper l’oignon épluché en 2. Mettre dans le bol (inutile de le rincer !)  
Mixer 5 s. /vit 5. 
Vider dans une poêle, faire rissoler avec un peu de matière grasse. Puis déglacer avec le vin blanc.

Mettre les œufs, la crème, sel, poivre dans le bol (tjrs sans le rincer) 
Mixer 15 s/Vit4
Répartir les oignons frits sur les champignons. Verser le mélange crème/œufs sur le tout et bien tasser.



Enfourner pour 30 à 40 mn à 190°
Servir tiède, (ou froide) avec un vin blanc.








  

samedi 8 décembre 2012

L'Immaculée Conception.


 -


La fête de l’Immaculée Conception est une fête relativement récente, du moins officiellement, car depuis le moyen- âge les catholiques et les orthodoxes affirment simplement « que Marie est Toute Pure, toute Immaculée, dès sa conception, parce que c’est un don de Dieu. Et si d’aventure quelqu’un croit que ce n’est pas possible, il diminue le don de Dieu. »

Il aura donc fallu beaucoup de temps et de réflexion pour que, en 1854,  le pape Pie IX proclame le dogme de l’Immaculée Conception.

Un dogme qu’est-ce ?

Un dogme est une vérité de foi solennellement proclamée par le Pape pour être accueilli par l’Église.

Ainsi, le 8 décembre 1854, dans la Bulle « Ineffabilis Deus », le pape Pie IX déclarait :
"Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception, par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout puissant,
en vue des mérites de Jésus Christ, Sauveur du genre humain,
préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être crue fermement et constamment par tous les fidèles ".

Un dogme est toujours le résultat d’une longue réflexion de l’ensemble du clergé et du peuple de Dieu. Cela ne « tombe » pas par hasard, par    la décision d’un seul homme.


Étonnant de voir qu’en 1830, soit 24 ans avant la promulgation du dogme, la Vierge Marie apparaît rue du Bac à Paris à une jeune religieuse en disant qu’elle « est conçue sans péché »




Et en 1858, à Lourdes, une petite bergère qui ne sait ni lire ni écrire, Bernadette Soubirous, voit une belle dame qui lui dit être:
« L’Immaculée Conception » juste 4 ans après la promulgation du dogme.
Le ciel voudrait-il confirmer  la décision de l’Église de proclamer Marie : Immaculée Conception ?

Encore une coïncidence de date étonnante. Ça se passe à Lyon dans les années 1852-1853.



Chapelle et basilique se sont succédé depuis le Moyen-âge sur la colline bien connue de Fourvière. Les Lyonnais y implorent depuis le moyen-âge le secours de Marie dans les calamités publiques et donnent  une grande solennité à la fête de la naissance de la Vierge, le 8 septembre. (Suite au vœu des échevins*)

En 1852, on achevait à Lyon la reconstruction du clocher de la vieille chapelle de Fourvière. Au sommet de l’édifice, on avait placé une statue de la Vierge Marie en bronze doré. 
Elle devait être inaugurée le 8 septembre, mais une inondation dans l’atelier du fondeur retarda la cérémonie au 8 décembre, autre fête de la Vierge, celle de sa Conception. (En 1140, les chanoines de Lyon introduisirent la fête de la Conception de Marie, le 8 décembre, tandis que sa Nativité était déjà célébrée le 8 septembre.)
Ce jour-là, des feux d’artifice étaient prévus mais une pluie torrentielle s’abattit sur la ville. À la tombée de la nuit, le ciel s’éclaircit et la pluie s’arrêta.

 "Tout à coup apparaissent à quelques fenêtres inconnues des lignes de feu... La ville s’était embrasée en un instant. Bientôt, il ne restait plus, sur la vaste étendue des quais, des rues, des passages ignorés et des cours invisibles, aucune fenêtre obscure. 
Les petits marchands, les clochers, illuminaient leurs baraques, leurs voitures et jusqu’aux bordures des trottoirs... Quelques feux de Bengale s’allumèrent sur les toits de la chapelle de Fourvière, la statue de la Vierge apparaît et la grosse cloche de Saint Jean, cet éloquent interprète des joies publiques, est lancée à toute volée. À huit heures, la population entière était dans la rue, circulant, paisible, joyeuse et attendrie. On se serrait la main sans se connaître, on chantait des cantiques, on applaudissait, on criait : "Vive Marie ! " Les étrangers n’en revenaient pas de leur surprise, et les Lyonnais, tout remplis qu’ils étaient de cette fête improvisée, se demandaient comment, en un instant, une population de trois cent mille âmes avait pu être saisie de la même pensée". (Récit d’un témoin de l’époque)

L’évènement éphémère d’une nuit devint institution. On prépara avec soin les illuminations de 1853. Quant à celles de 1854, elles furent un triomphe, car elles coïncidaient avec la proclamation par le Pape, à Rome, du dogme de l’Immaculée Conception. Les Lyonnais avaient la fierté des précurseurs.

Désormais, d’année en année, les Lyonnais et l’Eglise toute entière, fêtent Marie, lui disent de multiples mercis, se préparant à fêter le grand cadeau qu’elle nous fait à Noël : Jésus, la lumière du monde.






Sources :
*Bibliothèque municipale de Lyon : Vœu des échevins
Images du Net.

mercredi 5 décembre 2012

Magret de canard séché.




Le magret de canard séché quel délice, et encore plus quand on le fait soi-même!
Vous avez encore le temps de le faire pour les fêtes.

C’est tout simple à réaliser.


barres séparateurs/Noel

1 ou 2 magrets de canard (profitez des promotions)
Gros sel
Poivre
On peut également ajouter du thym, du piment d’Espelette, des baies de Szechuan etc.
1 bande gaz extensible  (en pharmacie, ou super marché).

Préparer votre magret :





Dénerver le côté chair du magret en passant un couteau fin et bien aiguisé sous les membranes blanches.







Puis faite une petite séance d’épilation, en retirant les petits tubes où se fichent les plumes, côté peau. J’utilise une pince à épiler que je réserve à cet effet. (Efficace aussi pour retirer les arrêtes d’un saumon cru)





Mettre une fine couche de gros sel dans un plat pouvant contenir le magret et poser le magret côté chair vers vous. (Moule à cake) puis recouvrir complètement de sel.


Réserver au frais entre 6 et 8 h. (Pas plus ce serait trop salé par la suite.)
Faites un petit calcul pour que la fin des 8 heures ne tombe pas à 2 heure du matin lol !


Au bout de ce temps, sortir le magret du sel, le passer soigneusement sous l'eau pour ôter tout le sel et bien le sécher avec du papier absorbant.

Mettre généreusement le poivre ou votre mélange d’épice sur le magret et bien frotter.

Emballer le magret avec la bande.

Ici avec un filet mignon, mais même principe pour le magret.

Suspendre le magret à la grille de votre réfrigérateur. 

original, non?

 Éviter de le poser dans le bac à légume car il y a un risque de moisissures à cause de l’humidité.

Au bout de 15 jours, votre patience sera récompensée, vous pourrez déguster votre magret. Découper en tranches très fines. (Comme un jambon cru.)

Plus vous le laissez au réfrigérateur, plus votre magret deviendra sec. Personnellement j’en ai gardé un 3 mois, il était excellent.

Vous pouvez varier les plaisirs en prenant du filet mignon à la place du magret. Suivre la même procédure.




Photo finale dans une quinzaine ;-)  !

samedi 1 décembre 2012

1er dimanche de l’avent.





Jérémie 33, 14 - 16

14 Parole du SEIGNEUR.
Voici venir des jours
où j'accomplirai la promesse de bonheur
que j'ai adressée à la maison d'Israël
et à la maison de Juda :
15 En ces jours-là, en ce temps-là,
je ferai naître chez David un Germe de justice,
et il exercera dans le pays le droit et la justice.
16 En ces jours-là, Juda sera délivré,
Jérusalem habitera en sécurité,
et voici le nom qu'on lui donnera :
« Le SEIGNEUR est notre Justice. »

La promesse d’Israël (le royaume du Nord) et de Juda (le royaume du Sud) s’est concentrée sur le Sud, sur Jérusalem et David.

La situation est critique, et le prophète encourage le peuple en lui annonçant un « germe », un roi, un règne de justice.

Ce mot justice, difficile à traduire, n’a rien à voir avec notre justice légale ou sociale. On pourrait le décrire comme un espace dans lequel nos rapports avec Dieu et entre nous sonnent juste, comme la voix est juste quand elle exprime exactement la note. 

Nous sommes dans la justice lorsque nous vivons comme Dieu le désire. Nous rentrons dans la justice quand il nous guérit, redresse le rapport faussé. C’est alors l’harmonie.

Jésus sera ce germe de justice, né de David. L’Eglise sera la nouvelle Jérusalem qui s’appellera : Le Seigneur est notre justice. 
Beau nom-programme à base d’humilité (Dieu seul est juste) et de confiance (Dieu nous rend justes, harmonieux).

Que cette harmonie soit rétablie, voilà notre désir. Le désir existentiel de toute notre vie, celui d’un monde qui grince de toutes parts.

Extrait d’un commentaire de la parole sur le site Port Saint Nicolas


gifs guirlandes / borduresgifs guirlandes / borduresgifs guirlandes / borduresgifs guirlandes / bordures

En AVENT...!







Le temps de l’Avent s’ouvre le 4ème dimanche précédant Noël soit cette année le 2 décembre.

Le début de l'Avent marque aussi pour les catholiques l'entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s'achever une année plus tard avec la fête du Christ Roi.


Gardons toujours bien présent à notre mémoire, que la crèche n’est que l’étape préparatoire au grand évènement sauveur qu’est la mort du Christ en croix et sa résurrection glorieuse au matin de Pâques. Sans cet évènement majeur, nous ne parlerions pas de Noël.

Le mot « avent » traduit le latin ‘adventus’ qui signifie « avènement, venue ». En ce temps de l'avent, nous nous préparons à célébrer simultanément  3 évènements :
- la venue du Christ à Bethléem il y a deux mille ans.
- la venue du Christ dans le cœur des hommes de tout temps, donc dans notre aujourd’hui.
- son avènement dans la gloire à la fin des temps.

                           "Il est venu, Il vient, Il reviendra !".

Oui, c’est l’anniversaire de notre Seigneur, mais pas seulement.

Nous avons à nous préparer intérieurement à la célébration de Noël, évènement inouï, et décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme parmi les hommes : de sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l’exception du péché.

Il nous a montré le chemin  de l’Amour du prochain et de ses ennemis, de l’intimité avec le Père dans la prière. 
À nous de profiter de ce temps d’attente, de veille, pour l’imiter, le désirer le plus possible. La liturgie, la parole de Dieu que nous parcourons en cette période nous y encourage et nous y conforte.

Nous faisons mémoire et actualisons chaque dimanche une venue qui ne cesse de tenir sa promesse : Jésus nous a laissé son Corps et son Sang en gage d’une autre promesse : celle de sa venue définitive, lorsque les temps seront accomplis.

Nous attendons cette venue en Gloire du Christ, qui fera entrer toute l’humanité et toute la Création dans un monde enfin délivrées de toute peur, de toute larme, de toute douleur.

Ce que nous avons célébré lors de la fête du Christ Roi de l'univers et ce début du temps de l’Avent se rejoignent intimement : l'Église attend la réalisation du Royaume de justice et de paix inauguré par la Pâque du Christ.

Notre bonheur, c’est Dieu. Le problème, c’est que nous ne le savons pas toujours, ou bien nous l’oublions. Nous cherchons le bonheur à travers des biens matériels, au  travers de plaisirs passagers, éphémères. 

                          Nous étouffons en nous le désir de Dieu. 

Que ce temps nous fasse redécouvrir Celui qui frappe à la porte de notre cœur, le mendiant de notre amour.


Alors « En AVENT ! »



Source Images: le Net.